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Les toxines dentaires Dr Johann Lechner de Munich

 

Toxicité démontrée, par le Dr Johann Lechner de Munich, des dents dévitalisées.

 

 

Toxicité ignorée et tabou !

 

 

POURQUOI ?

 

 

 

Depuis 1998, l'enseignement scientifique en odondotologie ne correspond pas aux réalités biologiques. Nous informons, vous agissez en transmettant.

 

Nous n'avons pas le droit de laisser mourir nos concitoyens de gangrène des mâchoires. Merci.


 

Le test Topas (toxicité des dents dévitalisées) a été remplacé par l'appellation  Orotox.

 

Pour tout renseignement et passer commandes des tests Orotox s'adresser au Dr Johann - Lechner. Munich

 

www.orotox.de

 


 

Toxines  dentaires

 

Toxines dentaires Lechner.pdf

 

Effets systémiques et diagnostic

 

Rapport professionnel  du  Dr  Johann  Lechner

 

Depuis la découverte des antibiotiques, médecins et dentistes se sont mis à croire que des dents infectées ne pouvaient déclancher d’autres pathologies dans d’autres systèmes d’organes du corps. La grande majorité d’entre eux prétendent que les « infections focales » sont une tromperie et font partie du passé :

 

  • On dénie le danger que la dent dévitalisée par elle-même et les bactéries enfermées en elle puissent déclencher des charges prépondérantes dans le périphérique de la dent.

 

  • Depuis 1998, il est scientifiquement reconnu que 90% des molaires supérieures possèdent un quatrième canal dans la racine mésio-buccale. Pourtant, l’odontologie officielle considère jusqu’à ce jour qu’une telle molaire soit parfaitement traitée dès que trois canaux sont correctement obturés.

 

  • Cela signifie que, jusqu’à lors on doit considérer 90% des molaires supérieures dévitalisées comme des porteurs massifs de bactéries et de toxines même si elles sont parfaitement bien obturées et que le contrôle radiologique soit sans soupçon.

 

  • Cela prouve que depuis longtemps l’enseignement scientifique en endodontie ne correspond pas du tout aux réalités biologiques.

Afin de pallier aux désordres provoqués par le document précédent, il n'y aura ci-dessous que le texte sans les vues, dessins, diagrammes. 

 Rapport complet du Docteur Lechner de Munich, le seul à connaître parfaitement tous les problèmes liés à l'odontologie appuyé par un matériel électronique ultra perfectionné.


 

Un article qui peut encore être visionnable mais d'un autre Docteur allemand Dr méd. John van Limburg Stirum, mais suivant les études du Dr Lechner.

 

 

http://www.komstar.ch/zm/medien/artikel-franz.pdf


 

 

 

Toxines  dentaires

 

Effets systémiques et diagnostique

 

Rapport professionnel  du  Dr  Johann  Lechner

 

Depuis la découverte des antibiotiques, médecins et dentistes se sont mis à croire que des dents infectées ne pouvaient déclancher d’autres pathologies dans d’autres systèmes d’organes du corps. La grande majorité d’entre eux prétendent que les « infections focales » sont une tromperie et font partie du passé :

 

  • On dénie le danger que la dent dévitalisée par elle-même et les bactéries enfermées en elle puissent déclencher des charges prépondérantes dans le périphérique de la dent.

 

  • Depuis 1998, il est scientifiquement reconnu que 90% des molaires supérieures possèdent un quatrième canal dans la racine mésio-buccale. Pourtant, l’odontologie officielle considère jusqu’à ce jour qu’une telle molaire soit parfaitement traitée dès que trois canaux sont correctement obturés.

 

  • Cela signifie que, jusqu’à lors on doit considérer 90% des molaires supérieures dévitalisées comme des porteurs massifs de bactéries et de toxines même si elles sont parfaitement bien obturées et que le contrôle radiologique soit sans soupçon.

 

  • Cela prouve que depuis longtemps l’enseignement scientifique en endodontie ne correspond pas du tout aux réalités biologiques.

 

Si nous nous permettons d’analyser cette réalité sous l’aspect de nos méthodes de tests bioénergétiques, la situation se présente comme telle : Jusqu’en 1998 – et selon les acquis scientifiques d’aujourd’hui – les représentants et enseignants des « sciences odontologiques » ont commis 90% d’erreurs de diagnostic concernant les molaires supérieures obturées. Pour les experts en odontologie et la Sécurité Sociale, la radio d’une molaire supérieure montrant trois canaux correctement obturés est toujours considérée comme le garant qu’aucune invasion bactérienne ou charge toxique ne puisse provenir d’une dent traitée ainsi.

 

Ce n’est que la médecine dentaire holistique qui met en garde devant un risque potentiel pour la santé publique provenant de dents dévitalisées. Ceci peut s’avérer très problématique sur le plan juridique si un dentiste holistique envisage d’extraire une dent morte lors d’un assainissement de champs perturbateurs odontogènes. La jurisprudence l’oblige à établir un diagnostic et une « indication médicale » pour une extraction éventuelle. De nombreux jugements ont été défavorables  aux dentistes holistiques puisque les experts ont rejeté comme « scientifiquement  non  reconnu » les diagnostics de pathogénie basés sur des tests bioénergétiques et leur seul critère d’expertise reste la radio retroalvéolaire.

 

Toute intervention chirurgicale dentaire effectuée sans indication médicale fondée sur des bases scientifiquement reconnues est considérée comme coup et blessure volontaire.

Même un éclaircissement écrit et un consentement écrit par le patient ne suffissent pas pour justifier l’extraction d’une dent morte puisque seul les interventions médicales basées sur des

 

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« actions ou méthodes conventionnellement reconnues »  profitent de la notion d’une indication médicale.

Autres méthodes ne correspondant pas à ces critères sont considérées comme contre bonne foi et donc contre les bonnes coutumes.

 

Toutes les méthodes de tests bioénergétiques rentrent dans ce panier. Cette jurisprudence limite sérieusement notre médecine dentaire holistique qui postule un élargissement des diagnostics vers les méthodes bioénergétiques. Le dentiste énergéticien s’expose donc régulièrement à des conflits juridiques qui peuvent menacer son existence. Ceux qui malgré ces menaces ne veulent renoncer à un assainissement chirurgical et invasif des champs perturbateurs dentaires et qui ne veulent pas se contenter avec des soins purement correctifs  et palliatifs, sont obligés de se servir uniquement de méthodes cliniquement  approuvées. Une de ces méthodes est le Chaiside-Test  (TOPAS), un test semi quantitatif qui a reçu récemment son homologation européenne EU/CE. (Voir image 2 et 3)

 

Est-ce que la radiographie dentaire peut réellement montrer ce qui se passe ?

 

Puisque en odontologie la radio rétro-alvéolaire est jusqu’à lors reconnue comme l’unique critère pour l’appréciation d’une dent dévitalisée, on doit se poser quelques questions si on veut approcher ce problème sous l’aspect scientifique :

  • Peut-on visualiser des toxines sur une radio dentaire ?
  • Est-ce qu’une radio sans singularités et l’absence d’inflammations péri-apicales visibles sont une preuve pour l’innocuité clinique d’une dent dévitalisée ?
  • Est-ce que l’absence de processus inflammatoires sur une radio rétro-alvéolaire est équivalente avec absence de charges chroniques toxiques ou chroniques inflammatoires ?

Pendant que la dent 17 présente un traitement canalaire incomplet sur la racine disto-buccale – ce qui explique la valeur 5 au test TOPAS – la dent 15 montre un traitement correcte. Pourtant, elle aussi indique au test TOPAS une valeur maximale de 5 pour sa présence de Thioaether.

 

Les anaérobies pénètrent obligatoirement dans les couches profondes de la dentine péri-canalaire. Ces  bactéries orales pathogènes produisent des quantités énormes de toxines. Des produits parallèles au métabolisme de bactéries anaérobies  sont des toxines comme l’Hydrogensulfide (HS2) et le Méthyl-Mercaptane (CH3SH) . On peut isoler de telles bactéries qui produisent ces toxines dans des dents avitales infectées ou dans des dents ayant subi un traitement endodontique.

 

Le mécanisme de la production de Méthyl-Mercaptane à partir de microorganismes oraux est connu : le Méthyl-Mercaptane se développe à partir de la désintégration de l’acide aminé L-Méthionine. L’enzyme qui déclanche cette réaction est appelée L-Méthionine-y-Lyase.

 

 

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La L-Méthionine-y-Lyase catalyse les réactions d’élimination et de substitution pour la L’Méthionine ainsi que pour ses analogues (p.ex. Homo-cystéine, S-Métyl-cystéine) . On retrouve la  L-Méthionine-y-Lyase dans un grand nombre de bactéries anaérobies qui servent à la flore buccale normale. Ces bactéries se servent  comme source d’énergie du produit de fission de la L-Méthionine : la 2-Cétobutyrate. À l’évidence de l’insuffisance d’une radio rétro-alvéolaire pour le diagnostic d’une intoxication on doit chercher un ustensile d’exploration opportun. (Voir images 2 et 3)

 

 

Pourquoi le diagnostic de toxines dentaires est-il d’un intérêt systèmo-médical ?

 

Une des fonctions enzymatiques les plus essentielles dans l’organisme humain se déroule à l’intérieur des mitochondries : à travers d’une cascade de processus enzymatiques, l’ATP        ( Adényltriphosphate ) est mis à disposition à l’intérieur des mitochondries. Le problème dans ce processus de mise à disposition de l’ATP consiste dans le fait que le corps possède en tout seulement environ 35 g d’ATP  qui doit être synthétisé et désagrégé à peu près 2000 fois par jour. L’activité de la musculature striée et l’activité cérébrale sont des processus de métabolisme qui consomment la plus grande quantité d’ATP. Si ce processus biochimique est interrompu ou entravé, on peut supposer que la mise à disposition d’ATP à l’intérieur de la cellule sera insuffisante.

Le schéma N° 1 ci-dessus montre comment l’Hydrogensulfide (HS2) et le Méthyl-Mercaptan (CH3SH) provenant d’une ostéite maxillaire chronique freinent  les enzymes essentielles à la synthèse d’ATP .

 

Schéma N° 1

 

Inhibition d’enzymes à travers de toxines de CKO

Dans ce cas clinique on voit comment avec une activité restante de seulement 35% les toxines provenant d’une ostéite maxillaire inhibent au plus fort la phosphoglycérat-Kinase .   La baisse d’activité des autres systèmes d’enzymes tourne autour de 50%.

 

 

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Comment peut-on prouver et quantifier ces toxines ?

 

C’est le Prof. B Haley de l’université de Kentucky qui a développé un test intrabuccal semi quantitatif qui facilite beaucoup les examens du praticien : le Toxicity Prescreening Assay  (TOPAS). Avec une pointe de papier on absorbe les toxines qui se trouvent dans le sulcus papillaire de la dent à examiner. (Schéma N° 2)

  • Pendant une minute on laisse la pointe de papier dans le sulcus.
  • Le sulcus devrait être sec et ne doit pas saigner.

 

 

 

 

Comparaison entre le radiographie et TOPAS : un exemple de la pratique

 

En regard d’une telle radio rétro-alvéolaire, la position d’un expert en odontologie universitaire est telle : (Photo N° 5)

  • La radio rétro-alvéomaire prouve avec exactitude la réussite de l’obturation canalaire.
  • En regard de l’innocuité radiologique de cette dent dévitalisée on peut exclure des réactions à distance pathogènes.

A travers d’un exemple d’un cas isolé de ma pratique quotidienne je me permets de poser quelques questions.

Les analyses sur 139 dents dévitalisées extraites dans mon cabinet ont démontré le résultat suivant désastreux : Même pas 10% de ces dents examinées montraient un taux de toxines entre 0 et 2, ce qui pourrait être considéré comme tolérable.

 (Voir tableau n° 5 ci-contre)

 

 

 

 

 

 

 

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Nombre de toutes les dents dévitalisées testées (139)

Charge toxique 0 = aucun largage de toxines notable

Valeur toxique 1  = faible largage de toxines

Valeur toxique 2  = largage notable de toxines

Valeur toxique 3  = largage net de toxines

Valeur toxique 4  = largage fort de toxines

Valeur toxique 5  = largage extrêmement fort de tox.

 

Une méthode simple pour le diagnostique d’une charge toxique

 

Selon mon expérience le Test TOPAS permet pour la première fois de nous fournir de manière simple et rapide un renseignement  sur une charge toxique et bactérienne provenant

de la sphère bucco-dentaire. Il nous sert de contrôle endodontique et il complète l’appréciation purement optique de la radio rétro-alvéolaire des obturations canalaires avec la mesure semi-quantitative de l’ H2S.

  • Il documente les charges biochimiques prouvables et il nous fournit des données physiologiques essentielles.
  • A un prix raisonnable il nous fournit la décision, si une dent dévitalisée joue un rôle important dans une pathologie à distance sous le point de vue systémique.
  • Il peut éviter des extractions dentaires inutiles et il empêche que des charges chroniques et toxiques persistent dans l’organisme.
  • Le Test TOPAS est certifié EU / CE et il est autorisé pour administrer la preuve de la présence de toxines dentaires chargeant le système.

 

Avec ce test TOPAS j’ai trouvé un outil important pour mon travail quotidien qui peut servir la médecine dentaire holistique et les praticiens qui ont besoin de documenter leur diagnostique des dents dévitalisées. Le qualificatif TOPAS a été remplacé par OROTOX.

 

 

Littérature :                                                     Informations sur OROTOX et commandes :

www.totezaehne.de                                        www.orotox.de

 

 

Auteur :

Dr. J. Lechner

Grünwalder Str. 10A                                                                          Traduction:

D-81547  München                                                                            Dr Hubert Kloos

www.dr-Lechner.de , drlechner@aol.com                                          dr.kloos.cannes@free.fr

 

Tous les sites du Dr J. Lechner : Dr Johann  LECHNER  www.dr-lechner.de  + 
www.kieferostitis.de  +  www.totezaehne.dewww.orotox.de +
www.zahnstoerfelder.de  +  www.zahnmetalle.de  

 

 

 

 

 

 



20/04/2012
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