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Maladies cardiaques et Cancers - Dr Rath et son équipe

Vidéos, informations, texte mis en forme par J. Daudon

 

La flambée des cancers ne peut me permettre de me taire !


 

 Avancées de la recherche cellulaire dans la lutte contre le cancer et les maladies cardiaques

Dr Aleksandra Niedzwiecki - Dr Matthias et leur équipe.


Dr Rath Education Services B.V

B.P - 656, 6400 AR hEERLEN/ Pays - Bas

Tél : 00.31.457.111.115 et 00.31.457.111.225

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Ces deux vidéos sont récentes. Le texte sous les vidéos date de plusieurs années. Prière de joindre les laboratoires pour obtenir des données plus récentes contenues dans diverses brochures vendues à un prix très modique, ainsi que ces deux vidéos. Demandez Monsieur Philibert qui parle un excellent français pour obtenir différents renseignements sur les recherches de l'équipe et produits élaborés. Recommandé aux médecins.

 


Laboratoires Dr Rath Médecine cellulaire - Cancer par diegoder

 

 

 

Les maladies cardiaques Dr Rath. Les causes... par diegoder

 


 

 

 

LA MEDECINE CELLULAIRE du Dr Rath - DE SOLIDES PROGRES EN LA MATIERE -

QU’EN-EST-IL DE LA LUTTE CONTRE : LE CANCER - LES MALADIES INFECTIEUSES©

 

Où réside le problème, clef, de la naissance des maladies ? Dans les cellules.

 

Origines des maladies

  1. 1.  Diminution, voire manque de bio-combustible dans les mitochondries.

Par manque de bioénergie, sous forme de vitamines, sels minéraux, oligo-éléments, acides aminés, l’insuffisance cardiaque constitue un exemple impressionnant puisque causée par une carence de « combustible » dans les cellules du myocarde. Le résultat est une fonction réduite de la pulsation du cœur, dyspnée et une accumulation de l’eau dans le corps.

  1. 2.  Apparition d’une fausse programmation de la régulation du métabolisme (noyau cellulaire)

Reprogrammation du logiciel du métabolisme dans le noyau cellulaire.

Ces reprogrammations génèrent des maladies si deux conditions sont remplies :

a)   Ordre de régulation " augmentation des cellules"

b)   Ordre de régulation "dissolution du tissu conjonctif entourant".

 

Comment migrent les cellules à travers le corps?

 

Pour les cellules rouges et blanches du sang, la réponse est facile; elles sont emportées par le flux sanguin. En revanche, en dehors du sang, il faut savoir qu'une cellule est capable de migrer en dissolvant, à court terme le tissu conjonctif, donc les fibres de collagène et d'élastine, se frayant ainsi un chemin au travers du tissu. La cellule utilise des enzymes produits dans le cytoplasme cellulaire qui sectionnent et digèrent les fibres de collagène du tissu conjonctif. Elle se fraye donc un passage au travers du tissu du corps.

 

Quels systèmes cellulaires peuvent « digérer » le collagène ?

 

La majeure partie des cellules du corps en sont capables. Cette digestion du tissu conjonctif se produit lors de la croissance de l’individu, mais aussi dans la défense du corps, dans le cadre des règles de la femme et de la grossesse.

 

Ce mécanisme sert-il les maladies graves ?

 

Si ce processus est employé par des cellules virales le corps est livré sans défense à un mécanisme employé normalement comme cité précédemment. Plus vite une cellule cancérigène est en mesure de battre le corps avec se propres armes plus le déroulement de la maladie est agressif.

 

Examen du processus dans des circonstances normales :

 

Défense contre l’infection

 

Les globules blancs, cellules de défense, ont pour rôle de lutter contre les intrus (micro-organismes).

Ces derniers sont divisés en différentes sous - unités accomplissant des tâches spécifiques. Les phagocytes, appelés macrophages, peuvent atteindre toute partie du corps par le flux sanguin.

 

Dans le cas de l’infection du poumon, par exemple, ces monocytes sont attirés par des substances messagères. Le passage des cellules de "police" du vaisseau sanguin dans le tissu du poumon se déroule par l’intermédiaire d’enzymes digérant le collagène.

 

A très court terme, le globule blanc, se glisse au travers de la paroi vasculaire dans le tissu pulmonaire entourant.

Pour atteindre les virus ou les microbes, les phagocytes doivent être capables de migrer d’eux-mêmes à l’intérieur du tissu. Ils utilisent le mécanisme de digestion du collagène. Les cellules de "police" dégagent des enzymes digérant le collagène dans le sens de leur passage vers les intrus. Immédiatement, derrière, le tissu conjonctif se referme sous l'influence de mécanismes spécifiques réparant le tissu conjonctif.

La condition à cette réparation est une formation optimale de molécules de collagène par un apport suffisant de vitamines C et d'autres facteurs cellulaires dans la nourriture.

 

Examen du processus dans des conditions anormales

Digestion de collagène en cas de maladies infectieuses

 

Sans la destruction du tissu conjonctif entourant il n'y a pas propagation de virus ou microbes.

Les cellules sont composées d'un software (information génétique) et d'un hardware (unité de production pour des protéines et d'autres molécules de métabolisme). Un virus n'est composé que d'un software. Dès qu'il est entré dans la cellule "hôte" : poumon, muqueuse du nez, ou de la gorge, son software est infiltré dans le noyau cellulaire et abuse pour ses propres fins de la fonction métabolique de la cellule.

 

On utilise sa fonction métabolique pour répandre l'infection virale par :

  1. 1.  Une reproduction du virus

L'unité de production de la cellule "hôte" contient l'ordre de production de copies de la particule virale. Un fois réussie, ces copies sont distribuées dans l'entourage et sont capables de contaminer d'autres cellules.

  1. 2.  Production en grande série d'enzymes digérant le collagène

De surcroît, le software du virus donne ordre à la cellule "hôte" d'une production métabolique d'enzymes digérant le collagène. L'infection peut alors se répandre. Sur ces 2 points plus le virus profite de la fonction métabolique plus l'infection se propage rapidement.

 

Digestion de collagène dans le cas de cancer

 

Toutes les formes de cancer se répandent par digestion du tissu conjonctif. Prenons l'exemple du foie.

Le foie est l'organe métabolique central du corps et responsable de tous les processus de désintoxication. La cause la plus fréquente d'un cancer du foie est initiée par les multiples substances toxiques que nous absorbons avec la nourriture; les substances de conservation, mais aussi les nombreux produits chimiques employés dans l'agriculture moderne, sans oublier toutes les préparations pharmaceutiques de synthèse.

 

Les cellules du foie se nécrosent ou subissent, de ce fait, des lésions irrémédiables. Une telle forme de liaison est, par exemple, la fausse programmation du software cellulaire (maladies virales).

 

Deux conditions doivent être remplies pour que le cancer se développe

  1. 1.  Accroissement incontrôlé des cellules

Le software d'une cellule cancérigène est mal programmé. L'ordre à l'unité de production de cette cellule est donné de se reproduire elle-même continuellement.

  1. 2.  Production en grande série d'enzymes digérant le collagène

Le tissu conjonctif enveloppe normalement la cellule cancérigène. Plus la cellule cancérigène produit des enzymes digérant le collagène plus le cancer est agressif. Si ce processus n'est pas stoppé l'espérance de vie du patient est faible.

 

Digestion de collagène dans le cas de métastases cancéreuses

 

Le mécanisme de la digestion du collagène joue un rôle décisif dans la formation de métastases dans d'autres régions du corps.

Les cellules d'une tumeur sont approvisionnées en oxygène et nutriments à l'aide de petits vaisseaux sanguins. Les parois de ces vaisseaux capillaires du sang ne constituent plus un obstacle. Avec l'aide des enzymes digérant le collagène la cellule cancéreuse s'infiltre dans le vaisseau et se laisse entraîner par le flux sanguin. Elle atteint ainsi d'autres organes. En conséquence, les enzymes digérant jouent un rôle décisif dans la sortie des cellules de cancer du foie tout autant que dans l'entrée dans le poumon par exemple. Plus une forme de cancer fabrique des enzymes digérant plus le risque de métastase augmente.

 

Digestion de collagène dans le cas d'infections chroniques

 

Dans ce cas de grandes quantités d'enzymes digérant le collagène contribuent, eux-mêmes, à la poursuite de la maladie.

 

Prévention naturelle et thérapie ciblée de la digestion de collagène

 

Ce mécanisme (digestion de collagène) fait partie de presque toutes les maladies se trouvant à des stades avancés. La thérapie va consister à inhiber ou atténuer ce processus.

C'est l'extrême complexité du monde vivant, ses arrangements informatiques, mathématiques et biologiques qui met à disposition du corps deux grands groupes de molécules pour le blocage de la digestion du collagène.

Le premier est composé de bloquants d'enzymes du corps capables de neutraliser l'effet des enzymes digérant le collagène en l'espace de quelques instants. Le second groupe est composé de bloquants que nous absorbons avec la nourriture ou comme supplément alimentaire. Le principal bloquant d'enzymes, digérant le collagène, dans la nourriture est l'acide aminé naturel, la lysine. Cette dernière bloque la possibilité qu'ont les enzymes digérant de déployer leurs effets et de dissoudre de façon incontrôlée le tissu conjonctif. Ainsi est stoppée ou réduite la propagation de la maladie.

 

Rôle prépondérant de la lysine sur la santé

 

Les fonctions métaboliques de notre corps ( Ensemble des transformations chimiques et physico chimiques s'accomplissant dans tous les tissus de l'organisme vivant : dépenses énergétiques, échanges, nutrition...) sont réglées par un langage biologique. Nous connaissons aujourd'hui 20 sortes d'acides aminés formant les protéines de notre corps.

Les cellules du corps peuvent produire la plupart de ces aminoacides. Il y a 9 sortes de ces acides aminés, qualifiés d'essentiels et qu'il faut absorber car contenus dans la nourriture.

Parmi ceux-ci, la lysine assure un rôle aussi important que la vitamine C parmi les vitamines. Le besoin quotidien de lysine dépasse le besoin de tous les autres acides aminés. C'est l'élément de base pour l'aminoacide carnitine qui joue, pour sa part, un rôle important concernant le métabolisme énergétique de la cellule.

Le collagène, principale molécule de structure pour le renforcement des os, de la peau, des parois vasculaires du sang et de tous les autres organes est composé de 25% environ de lysine et proline.

Une surdose de lysine est tout aussi impossible qu'une surdose de vitamines C. Le métabolisme de notre corps est familier du traitement de grandes quantités de lysine et dégage simplement les molécules surabondantes. Par contre, presque tous les hommes souffrent d'une insuffisance de lysine.

 

Equilibre délicat entre les enzymes digérant le collagène et les bloquants

 

Bien qu'il y ait distinction entre les bloquants des molécules du corps et ceux qui sont introduits de l'extérieur par la nourriture (lysine) ils remplissent les mêmes fonctions. Il faut toutefois considérer la lysine comme second agent de défense. Elle n'entre en action que si les systèmes du corps sont insuffisants.

D'autre part, l'équilibre entre les mécanismes digérant le collagène et les bloquants (s'il n'y a pas de manque de lysine) est assuré.

Lorsque les "cellules de police" se frayent un chemin dans le corps on assiste provisoirement à un déséquilibre des deux systèmes. En très peu de temps, ce déséquilibre est contrebalancé et l'équilibre entre les systèmes digérants et bloquants est rétabli.

Au sujet du cancer, notamment, il y a en revanche une prépondérance durable des mécanismes digérant le collagène. Les molécules naturelles de blocage ne suffisant pas à corriger cette prépondérance, ou s'épuisent simplement, la seule thérapie possible est une supplémentation alimentaire à hautes doses de lysine.

 

Utilisation réussie de la thérapie de bloquants d'enzymes

 

S'il est prouvé que certains succès de la thérapie vitaminique sur des formes de cancer indépendantes d'hormones est assurée, il n'a, à ce jour, pas été possible d'influencer de manière efficace les formes de cancer dépendantes d'hormones.

Avec la lysine, entre autres, existe aujourd'hui une forme naturelle et ciblée de thérapie capable de bloquer les enzymes digérant le collagène. Ces enzymes sont activés par les hormones. L'emploi de lysine à hautes doses est décisif pour toutes les formes de cancer. En 1977 déjà, un groupe de recherches suédois - sous la direction du Dr Astedt de l'Université de Lund - a fait part de son traitement réussi du cancer du sein au moyen de bloquants d'enzymes.

Le cancer du sein avait déjà créé des métastases dans le cerveau de la patiente. La radiothérapie et des cytostatiques demeuraient sans succès. Avec la thérapie utilisant le bloquant on a vu régresser les métastases du cerveau et d'autre symptômes de la maladie. Au terme d'un an de traitement, la patiente ne souffrait plus (page 44).

 

Si l'on considère qu'en Europe, seulement, des centaines de femmes meurent chaque année de ces types de cancer, on est en droit de se poser la question : Comment se fait-il que des formes thérapeutiques aussi prometteuses, que le blocage d'enzymes, ne soient pas sur le marché ?

La réponse du Dr Rath est celle-ci: En termes lucratifs, le marché des médicaments chimio-thérapeutiques représente le deuxième marché de l'industrie pharmaceutique, après les préparations cardio-vasculaires. A lui seul les cytostatiques (chimiothérapie) atteint, chaque année, plus de 50 milliards d'euros. Pour cette raison, l'industrie pharmaceutique n'a aucun intérêt à développer des procédés thérapeutiques éliminant le cancer.

 

Thérapies par la lysine concernant d'autres maladies

 

Dans le cas de l'artériosclérose, la propagation et l'accroissement des plaques artérioscléreuses sur les parois artérielles du cœur et du cerveau sont stoppées à l'aide de la lysine. En même temps, un processus curatif est enclenché grâce aux vitamines et d'autres suppléments alimentaires.

Dans le cas de maladies infectieuses causées par des virus, grippe, herpès, SIDA, ou provoquées par des microbes, infection des poumons, la lysine provoque la neutralisation des mécanismes agressifs. Toute association avec de la vitamine C à hautes doses et d'autres suppléments est raisonnable.

Dans le cas d'infections chroniques et même des maladies allergiques, ces maladies peuvent être endiguées ou atténuées grâce à la lysine. Dans ces cas aussi, il convient de combiner la vitamine C avec d'autres suppléments alimentaires.

 

Il n'est pas interdit de me joindre au 04.92.67.05.48 pour toute information. Je suis au service des citoyens, avant de rejoindre les prairies du Grand Manitou ( le plus tard possible).

 

 


 

 



07/04/2012
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