Français concertants, échangeant

LE DOGME (FAUX) DE LA CONTAGION (Théorie pasteurienne).

Document pour éviter l’affolement des populations.

Résumé sur ce sujet des pages 183/184 du livre référence du Professeur Jules Tissot intitulé : Constitution des organismes animaux et végétaux – Causes des maladies qui les atteignent – Laboratoire Annexe de physiologie générale du muséum d’histoire naturelle.

42, Bvd St – Marcel – PARIS – 1946 –

Après de longues et fructueuses recherches, le Pr Tissot, ce dernier démontra la fausseté des dogmes pasteuriens relayé par plusieurs Biologistes et Professeurs : Frémy, Béchamp, Galippe, Portier.

Ce dogme déclare le Pr Tissot, attribue le développement des épidémies à la transmission des maladies par les malades aux individus sains ou à l’absorption de matières alimentaires souillées par les déjections des malades.

Le respect de ce dogme et de ceux de la panspermie atmosphérique, l’asepsie des êtres vivants ne pouvaient pas permettre aux bactériologistes de parvenir à la notion de l’aliment-virus et à la notion  de la contamination par ingestion de ces aliments. Les virus et toutes les cultures bactériennes qui existent, ont pour origine exclusive l’organisme des êtres vivants animaux et végétaux, qui les répandent par déjection, ou décomposition de leur corps après leur mort.

Marinesco en 1927, dans son rapport sur l’épidémie de poliomyélite en Roumanie, indique que sur 500 cas, il n’y eut que 2 ou 3 cas où la contagion puisse être incriminée. La contagion n’avait pas eu lieu, même dans des cas où l’enfant partageait le même lit que le malade.

Les lésions du rhinopharynx indiquent qu’elles sont la porte d’entrée du virus de la polio. C’est l’alimentation toute spéciale des enfants, les bouillies de céréales ou le lait de vache contaminé par la litière qui sont la source du virus. La maladie affecte la forme épidémique parce que l’aliment-virus, détermine par ingestion la contamination journalière des enfants.

Pour la diphtérie - Tissot a bien démontré son origine – le siège de la lésion, la nature du virus, le Cladosporium  et autres formes conidiennes des céréales, ainsi que l’âge des sujets atteints, prouvent que c’est par ingestion du virus et non pas par contact avec les malades que se produit la contamination.

Il est admis que la contamination de la peste se fait par le rat. Lors d’une épidémie de peste les rongeurs sont atteints avant l’homme, mais cela ne prouve pas qu’il soit le vecteur contaminant. L’étude de Nikaronoff sur foyer endémique nous apprend que les spermophiles pesteux, nul en avril, atteignent un maximum de 9% en juillet, moment de maturité de la plante (Agryophyllum arénarium).

Si la peste se transmettait chez le rat par contagion, ou les puces, elle continuerait à contaminer les rats restés indemnes et l’épizootie ne se terminerait qu’à la mort de tous les rats. Nikaronoff ajoute que les épidémies de peste chez l’homme coïncident avec récolte et battage, surtout lorsque la pluie s’en mêle. On connait les effets des céréales fermentant sous l’action de l’humidité, notamment l’orge.

Si le rat contracte la peste avant l’homme, cela ne signifie pas qu’il le contamine. Signifie seulement qu’il se contamine avant l’homme.

En avril pas un rat pesteux sur 100 sujets, en juillet, récolte de la plante près de 10% de rats pesteux se nourrissant des graines. Donc pas de virus préexistant. On est bien obligé d’admettre que l’infection des premiers rats pesteux a lieu par ingestion directe du virus développé.

Pourquoi tous les rats qui ingèrent ces graines de céréales ne succombent pas, vraisemblablement parce qu’ils ont des défenses immunitaires plus solides et que le dogme de la contagion ne tient pas. Nous sommes responsables de cette dernière phrase.